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7 astuces permis pour prendre confiance au volant

L’amaxophobie, ça vous parle? Il s’agit de la peur excessive et irrationnelle de conduire. Elle représente presque 5% des possesseurs du permis de conduire, et découle souvent d’un traumatisme au volant dont les symptômes doivent être traités par une thérapie comportementale adaptée. Dans cet articles, nous parlerons d’astuces permis ! 

Que vous n’ayez jamais conduit, que vous ayez quelques heures à votre actif ou finissiez vos dernières leçons avant le jour J, vous vous heurtez peut-être à un manque de confiance au volant. Rassurez-vous, il est fort probable que celui-ci ne relève pas de l’amaxophobie.

Les témoignages d’élèves d’auto-école fusent à propos du manque de confiance en soi. Cela peut être une angoisse, un trop-plein de stress et d’émotions, voire une phobie comme on l’a vu. Pourtant, être à l’aise au poste de conduite est un facteur primordial dans le bon déroulement de votre formation, et plus particulièrement dans la réussite de l’examen du permis de conduire.

En bref, quelle que soit votre avancée vis-à-vis du permis de conduire, les 7 astuces permis qui suivent vont vous apporter sérénité et contrôle au volant. Pas de craintes : nul besoin d’hypnose ou de thérapie par un psychologue. Alors attachez votre ceinture, prenez une grande respiration, et c’est parti…

7. Astuces permis : Le mindset – vous êtes là pour apprendre!

Bien souvent, les élèves veulent trop bien faire, et chaque remarque faite par le ou la monitrice est vécue comme une défaite. Mais pourquoi s’attendre à ce que votre conduite soit parfaite alors que vous n’avez pas encore votre permis de conduire? Et même dans le cas de conducteurs expérimentés, les erreurs sont possibles. Alors oui, cela peut sonner rébarbatif mais on ne cessera de le répéter : l’erreur est humaine!

Une fois que vous aurez intégré ce principe, vous serez automatiquement plus détendu au volant. Vous prendrez les remarques des moniteurs pour ce qu’elles sont : des opportunités pour progresser. Une de nos astuces permis pour commencer.

Oui, la conduite en auto-école n’est pas nécessairement un mauvais moment à passer, et à La Navette on en sait quelque chose…

6. Vous sentir bien dans votre auto-école

Le mindset positif, c’est bien. Le mindset ET l’environnement positifs, c’est mieux!

À l’école, vous avez bien plus de facilité et de motivation à suivre un cours sérieusement si vous vous entendez bien avec votre professeur, et si vous aimez sa façon d’enseigner. Eh bien pour une auto-école, c’est exactement la même chose. Si vous vous sentez bien et avez l’impression d’être encadré par une équipe de professionnels bienveillants, impliqués dans votre apprentissage, cela vous conditionnera très fortement à réussir.

Pour l’instant, la formule de la confiance en soi n’a pas l’air bien difficile, n’est-ce pas?

5. Astuces permis : Continuez à réviser votre code!

Oui, on sait ce que vous allez dire : mais qu’est-ce que le code a bien à faire avec la confiance au volant?

Eh bien, la réponse est : à peu près tout !

En effet, le code de la route est demandé avant de commencer l’apprentissage pratique au permis de conduire, et c’est pour une raison évidente : vous devez être capable de reconnaître et vous adapter à toutes les situations sur les routes. Et cela passe par la connaissance des différents éléments de signalisation, les limitations de vitesses, les équipements du véhicule, etc…

Même si tout cela peut vous sembler maîtrisé, notamment parce que vous avez déjà obtenu votre code, il est bon de se replonger dans ses leçons de temps en temps. Faites quelques séries de code chaque semaine, revoyez la signalisation si vous n’êtes pas capable de lire un panneau lors d’une heure de conduite. Qui sait : peut-être que cela vous épargnera plus d’une erreur évitable le jour J…

4. Échangez avec vos moniteurs et monitrices

N’oubliez pas : vous êtes là pour apprendre. Et quoi de mieux pour apprendre que d’écouter et d’appliquer les consignes de vos moniteurs et monitrices? Spoiler alert : il n’y en a pas.

Allez même plus loin : posez leur des questions spontanément, demandez ce que vous pouvez améliorer, mais également ce que vous faites bien. Alors ok, vous n’aurez pas de point bonus le jour de l’examen. Mais vous connaîtrez sûrement les bonnes pratiques qui, elles, vous apporteront des points au permis.

3. Renseignez-vous sur le déroulement de l’examen

Le moment le plus important de votre formation à la conduite est bien évidemment le jour où vous passez l’examen. Vous devez vous présenter en sachant ce que l’on attend de vous, et en connaissant les erreurs qui peuvent être éliminatoires. Cela vous enlèvera peur, stress et anxiété, croyez-nous!

D’où l’intérêt de réviser son code régulièrement, et de discuter avec votre moniteur. Ils sauront ce qui est susceptible de vous éliminer, alors écoutez-les attentivement. Mais prenez également l’initiative de regarder le contenu de l’épreuve par vous-même, notamment la partie théorique. On vous demande encore un petit effort mais promis, il n’y a rien de bien difficile. 

2. Maîtrisez la mécanique de votre véhicule

Non, ne vous inquiétez pas, on ne vous demande pas de savoir changer une courroie de distribution ou de remplacer des plaquettes de frein. Loin de là…

Ce que vous devez maîtriser, en revanche, ce sont 3 éléments indispensables au poste de conduite :

  • le volant : sachez bien positionner vos mains, restez souple dans votre conduite.
  • les pédales : dosez correctement l’accélérateur, le frein, et l’embrayage.
  • la boîte de vitesses : passez les vitesses et rétrogradez au bon moment.

En somme, rien de sorcier. Mais la maîtrise demande de l’exercice et de la pratique. Et de la pratique, vous en aurez avec vos heures de conduite.

1. Astuces permis : Sachez anticiper

On vous le répétera à maintes reprises durant votre formation : anticipez. Et c’est pour une raison bien précise : anticiper, c’est se protéger et protéger les autres. Pas de place à la panique en voiture!

L’anticipation permet de diminuer le temps de réaction. En d’autres termes, si vous anticipez une situation potentiellement dangereuse, vous aurez plus de temps pour y réagir. Et bien souvent, sur la route et l’autoroute, l’accident se joue à quelques secondes près. Pas de phobie ni craintes des accidents, mais le sujet étant sérieux, il faut en avoir conscience en conduisant.

Prenez l’habitude d’anticiper en gardant un regard attentif et mobile sur les routes et autoroutes, en regardant loin devant vous. Veillez également à bien respecter les distances de sécurité avec les autres usagers. Encore une fois, ce n’est pas pour rien que l’on vous recommande de réviser régulièrement votre code… 

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En bref, ces 7 astuces permis vous permettront de considérablement augmenter votre confiance au volant. Comme mentionné précédemment, cela passe par une formation qui vous est adaptée. Et bonne nouvelle : vous avez bien atterri avec La Navette… 🚀

La faute éliminatoire à ne pas commettre à l’examen du permis

Si vous avez atterri sur cet article c’est que vous vous préparez sûrement à l’épreuve pratique du permis de conduire. Cet examen est redouté de tous puisque l’élève est jugé par un examinateur sur ses aptitudes en seulement 20 à 25 min. Et un facteur inconnu rentre en jeu : le stress. Même s’il existe des astuces pour prendre confiance au volant, nous n’avons pas encore trouvé la formule magique pour ne plus stresser au permis. Mais une chose est sûre, bien se préparer et anticiper les erreurs que vous pourriez commettre ne peut vous être que bénéfique. Dans cet article, vous connaîtrez la faute éliminatoire permis à proscrire le jour de l’examen.

Ce qu’il faut retenir c’est que certaines erreurs sont admises, d’autres tolérées, et certaines sont éliminatoires. Faites bien attention à ces dernières car, comme leur nom l’indique, une faute éliminatoire est… *roulement de tambours* éliminatoire. Elles vous causeront l’ajournement, et vous devrez repasser votre permis, ce qui signifie reprendre des heures de conduite… En bref, rien de bien agréable pour vous. Les fautes éliminatoires sont classées en plusieurs catégories selon le contexte de conduite dans lequel elles surviennent : le démarrage du véhicule, l’arrêt, les manoeuvres, la circulation et les dépassements. Pendant l’examen, l’inspecteur ou inspectrice peut faire une intervention, notamment pour freiner ou prendre le volant. Ces interventions ne sont pas toujours éliminatoires, alors restez concentré !

Numéro 10 : Je n’ai pas pris les informations sur mon environnement – Démarrage du véhicule

Lorsque vous démarrez votre véhicule et vous engagez dans la circulation, vous devez impérativement connaître les alentours du véhicule : le lieu de stationnement, les usagers gravitant autour, le trafic sur la route et les situations immédiates dans lesquelles vous vous trouverez en vous engageant. On vous conseille de prendre ces informations avant même de monter dans le véhicule, ce qui vous permettra d’avoir un aperçu sur ce qui vous attend au démarrage. Une fois rentré dans la voiture d’examen, faites de nouveau tout les contrôles, en les marquant suffisamment pour que l’examinateur les remarque. Avec toutes les informations bien en tête, vous pourrez vous engager sur la chaussée en toute sécurité. Votre inspecteur ou inspectrice appréciera grandement, et votre futur permis aussi ! 

Numéro 9 : Je me suis excessivement déporté(e) sur la gauche – Démarrage du véhicule

Après avoir effectué tous vos contrôles (il vaut mieux trop que pas assez), vous vous apprêtez à vous engager sur la route. Le véhicule est logiquement stationné sur le bas-côté, donc vous devez vous déporter sur la gauche afin de vous mettre en circulation. Le problème c’est justement si vous vous déportez TROP sur la gauche. Cela met en danger les autres utilisateurs, mais également vos passagers et vous-même. Ce serait quand même embêtant de vous retrouver face-à-face avec une camionnette déboulant à 5O km/h. Pas sûr que l’inspecteur apprécie… et le véhicule non plus. En d’autres termes, vous déporter trop sur la gauche est une faute éliminatoire permis. Alors faites bien attention à vous insérer de façon assurée et sécuritaire sur votre voie.

Numéro 8 : J’ai mis trop de temps à m’arrêter et failli percuté le véhicule de devant – Arrêt

Vous approchez d’un feu passant au rouge, d’un panneau stop, ou autre… Vous devez logiquement ralentir afin de vous arrêter en toute sécurité. Parfois, si on n’anticipe pas suffisamment, nous pouvons connaître ce genre de situation. Il faut alors réagir rapidement. Mais pour cela, il faut avoir préalablement respecté les distances de sécurité avec les autres usagers. Et c’est ce que l’on attend du candidat. En effet, le candidat doit freiner au bon moment, car un freinage trop tardif entraînera l’intervention de l’examinateur. Et cette intervention vous coûtera votre permis. Alors petits conseils : gardez vos distances de sécurité, regardez bien autour de vous et anticipez au maximum. Vous ne pourrez pas dire que vous n’étiez pas prévenu… 

Numéro 7 : J’ai violemment heurté un trottoir – Manoeuvre

Pendant une manœuvre, si vous escaladez lentement le trottoir, nous ne vous sanctionnerons pas. L’inspectrice ou inspecteur vous avertira certainement de faire attention, mais cela sera sans fâcheuse conséquence pour votre examen. En revanche, dans le cas où vous heurtez le trottoir de façon violente, ce sera rédhibitoire pour vous : c’est considéré comme une faute éliminatoire permis. Alors ok, il est très peu probable que cela mette en danger les passagers. Mais ça peut endommager le véhicule, notamment la roue subissant le choc. D’où l’intérêt de prendre son temps pour réaliser sa manoeuvre et de bien regarder dans les rétroviseurs pour vous guider sereinement.

Numéro 6 : J’ai entraîné un risque de collision en me garant – Faute éliminatoire manoeuvre

Lorsque vous vous arrêtez sur votre voie et marquez votre intention de vous garer, vous devez être très (et on insiste) attentif à la circulation. Vous n’êtes aucunement prioritaire sur les autres usagers. Donc attendez que la chaussée soit dégagée et qu’aucun véhicule, cycliste ou piéton n’arrive avant de débuter votre manoeuvre. Car c’est justement si vous avez mal pris ces informations que l’erreur éliminatoire arrive. Tout risque de collision que vous causez est un grand danger pour vous et pour les autres usagers. Et c’est bien évidemment sanctionné au maximum par l’inspecteur à l’examen.

Numéro 5 : J’ai franchi une ligne blanche continue – Circulation

Vous avez vu lors de votre apprentissage du code de la route que certaines lignes peuvent être franchies, d’autres non. C’est le cas des lignes blanches continues (ou jaunes dans le cas de travaux sur la chaussée). Si vous réalisez un changement de direction sur une voie balisée par des lignes continues, vous avez commis une faute éliminatoire permis : ( De même, si vous vous trouvez derrière un véhicule relativement lent et que vous voulez le dépasser : si la ligne est continue, vous allez peut-être gagner quelques secondes, mais vous allez surtout devoir vous représenter à l’examen.

Donc, là encore, la prise d’informations est non seulement exigée, mais surtout essentielle. Regardez bien les lignes au sol avant de vous engager dans tout type d’action entraînant leur franchissement. Et pas de panique si un cycliste se trouve devant vous : vous pouvez le doubler même si les lignes sont continues, à condition d’avoir suffisamment de visibilité vers l’avant et de temps pour réaliser le dépassement en toute sécurité. 

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Numéro 4 : Lors d’un changement de direction ou un croisement, j’ai refusé une priorité – Circulation

Le code de la route réglemente rigoureusement les changements de directions et les croisements, et à raison, car ils représentent des situations potentiellement dangereuses pour les usagers. Remettons-nous dans le contexte. Vous circulez sur votre voie en ville à 50 km/h, tout est parfait. Soudain, votre inspectrice vous demande de prendre à gauche à la prochaine intersection. Un feu tricolore régit l’intersection. Le feu étant vert, vous ralentissez pour vous engager dans la rue à gauche, comme demandé par l’examinatrice. Vous allez donc devoir franchir la voie des usagers venant d’en face.

C’est ce que vous faites, mais vous n’avez pas vérifié qu’aucun usager n’arrive, et malheureusement pour votre permis, c’était le cas. L’usager en question ralentit malgré sa priorité : commettre une faute grave et dangereuse, ce qui est logiquement éliminatoire. Ce petit cas de figure n’est bien évidemment pas le seul pouvant causer cette faute éliminatoire. Toute situation induisant un refus de priorité vous sera fatal. Alors oui, on se répète (encore et toujours), mais il est primordial de bien analyser votre environnement.

Numéro 3 : J’ai roulé au-dessus de la limitation de vitesse – Faute éliminatoire circulation

Cette erreur est classique, et elle n’épargne pas les conducteurs même confirmés. Sauf que dans votre cas, lors de l’examen, celle-ci ne vous enlèvera pas de point mais le permis automatiquement. Plutôt radical, on vous l’accorde, mais c’est pour la simple et bonne raison qu’un excès de vitesse trop important est dangereux. Vous devez alors veiller à bien vérifier la limitation de vitesse de la route sur laquelle vous circulez. Cela peut être indiquer par des panneaux de signalisation. Le cas échéant, il vous faudra connaître (par coeur) les limitations de vitesses des différents types de routes. Rien de bien compliqué, ne vous inquiétez pas.

Numéro 2 : J’ai roulé à contre-sens – Circulation

Il va de soi que rouler à contre-sens n’est pas ce qui se fait de plus sécuritaire sur les routes, voire tout le contraire… Alors, évidemment, si vous commettez cette erreur, ce sera impardonnable. Et vous le constaterez la minute où vous vous engagerez sur la voie qui ne vous est pas réservée : l’inspecteur fera des remarques et prendra immédiatement le volant. Il est souvent facile de repérer sur quelle voie circuler. Cependant, certaines rues peuvent être traîtres, et si vous ne faites pas attention à la signalisation, vous pouvez rapidement vous retrouver dans cette situation désagréable. Pas de stress pour autant : le jour de l’examen, le parcours ne sera pas nouveau pour vous car vous l’aurez déjà travaillé lors de vos heures de conduite. Donc, lors des fameux “parcours permis”, soyez particulièrement attentifs.

Numéro 1 : J’ai dépassé un véhicule qui avait déjà signalé son intention de dépasser – Faute éliminatoire dépassement

Là encore, cette faute éliminatoire permis relève du manque de prise d’information. Si un usager situé derrière vous active son clignotant, c’est qu’il a l’intention de vous dépasser. Ainsi, vous devez le laisser effectuer son dépassement en gardant la même allure. Hors de question de dépasser l’usager devant vous dans ce cas de figure. Et si vous prenez quand même ce risque, sachez que cette faute sera éliminatoire… Donc gardez les yeux bien ouverts! 

Comme vous avez pu le voir avec ce top 10 des fautes éliminatoires, votre ajournement à l’examen du permis de conduire n’est pas improbable. Mais pas d’anxiété pour autant : avec une bonne lecture de votre environnement et la connaissance de ce que vous pouvez faire et ne pas faire au volant, vous partirez avec de grandes chances de réussir le jour J!

La Navette vous prépare à cet examen en un éclair!

Déroulement permis : tout savoir sur l’examen

Le déroulement de l’examen pratique du permis permet de dresser un bilan de compétences de vos aptitudes à la conduite.

Sachez d’abord que pour pouvoir passer l’examen pratique, vous devez avoir obtenu votre code de la route.

De plus, le nombre maximum de présentations est de 5 sur une période de 5 ans à compter de la réussite de votre code de la route.

Avant l’examen

Afin de ne pas stresser le jour du permis, arrivez en avance le jour J. Vérifiez bien que vous avez avec vous votre pièce d’identité et votre convocation. Le cas échéant, pensez à votre livret d’apprentissage (conduite supervisée, accompagnée et candidat libre). Votre examinateur sera amené à effectuer le contrôle de ces documents avant le début de l’examen. Si vous êtes accompagnés par une auto-école, vous n’aurez que votre pièce d’identité à présenter.

L’examen en tant que tel dure une trentaine de minutes. Il comprend l’installation au poste de conduite, le moment où l’examinateur vous explique le déroulement de l’épreuve pratique et la partie où vous êtes en circulation.

Lorsque vous êtes en circulation, l’inspecteur va vous guider par des directions claires comme l’a fait votre moniteur pendant la formation. Ensuite, vous aurez une phase de conduite autonome, et hors agglomération. L’examinateur vous donnera une direction à suivre par panneau et à vous de bien vous diriger et vous positionner en fonction de cette direction.

Finalement, l’idée est de voir si vous êtes capable de chercher une direction, de lire des panneaux… tout en assurant la sécurité du véhicule et des autres usagers.

Installation au poste de conduite

Pour commencer, prenez le temps de vous installer. Ne vous précipitez pas ! Dans tous les cas, l’inspecteur vous laissera le temps qu’il vous faudra pour vous installer au poste de conduite. Prenez le temps de vous relâcher. Souvent la pression monte quelques minutes avant le début de l’examen… Une fois installé, l’examinateur va vous poser quelques questions, avant de valider votre dossier. Par exemple, il peut vous demander si vous portez des lunettes.

Début de l’épreuve du permis de conduire

Le début de l’examen est une phase importante où il faut souffler et ne pas se laisser submerger par la pression.

Durant l’épreuve, l’examinateur va vous tester dans différentes situations. L’idée n’est pas de vous piéger. Il va vous emmener dans des endroits plus ou moins fréquentés. Contrôler que vous connaissez bien le code de la route et que vous êtes capable, tout en utilisant correctement la voiture, de respecter les règles et de circuler en toute sécurité.

Conduite autonome

Pendant quelques minutes, l’examinateur va vous laisser conduire en toute autonomie. L’expert va évaluer vos compétences en matière d’analyse et de réponses apportées aux différentes situations qui se présenteront à vous. Il ne va pas vous expliquer quoi faire, il faudra suivre l’itinéraire demandé. Il va potentiellement vous faire des remarques sur votre conduite, si des choses ne sont pas faites correctement. Prenez ces remarques comme des conseils pour vous aider à vous améliorer sur la suite de l’examen. Ne prenez pas peur, ce ne sont pas ces remarques qui pourraient vous empêcher d’avoir votre permis.

Manoeuvres lors de l’examen du permis de conduire

Vous devrez également réaliser une ou deux manœuvres : créneau à droite ou à gauche, rangement en épi ou en bataille, marche arrière en ligne droite ou en courbe, demi-tour ou arrêt de précision… L’inspecteur vérifiera que vous prenez en compte les autres usagers et la signalisation.

Très souvent après la manœuvre, une fois que vous êtes arrêté, l’examinateur va vous poser des questions de vérification intérieure ou extérieure. Une question liée à la sécurité routière et une question portant sur des notions élémentaires de premier secours. Les bonnes réponses à ces questions permettent de gagner quelques points supplémentaires assez facilement.

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Fin de l’épreuve

L’épreuve dure environ 30 minutes. Cependant, en cas de faute éliminatoire, l’inspecteur met fin immédiatement à l’épreuve et vous devrez retenter votre chance. Une fois que vous avez terminé votre examen, les résultats sont accessibles sur internet 48h après. Vous aurez besoin de votre numéro NEPH pour consulter votre résultat. Si le résultat est positif, vous pourrez télécharger et imprimer la grille de notation qui vous permettra de conduire en attendant de recevoir votre permis.

Si vous êtes présenté à l’épreuve de conduite c’est que votre enseignant estime que vous avez le niveau pour pouvoir obtenir votre permis ! Ayez confiance en vous, essayez d’avoir une conduite qui ressemble le plus possible à la conduite que vous avez eu avec votre moniteur !

Le demi-tour en 3 temps

Le demi-tour est une manœuvre qui peut vous être demandée le jour de l’examen du permis.(Tout comme le stationnement en créneau ou stationnement en bataille, ou la marche arrière). Elle est essentielle car elle vous permet de changer de sens de circulation si vous vous êtes trompés de chemin ou si vous vous retrouvez par erreur dans une impasse.

Comment réaliser un demi-tour en trois temps en toute sécurité ?

Phase 1 : Les conditions pour faire demi-tour

Pour réaliser cette manœuvre, assurez-vous de pouvoir le faire en toute sécurité, sans gêner ni risquer de surprendre un autre usager. En tant que conducteur, vous ne devez pas gêner la circulation et être un danger pour les autres usagers.

Pour cela, vérifiez que vous êtes bien protégé par une ligne discontinue et non pas une ligne continue qui vous interdirait de réaliser la manœuvre. De plus, il n’est pas possible de faire demi-tour dans une voie à sens unique.

Regardez bien si un panneau de signalisation indiquant l’interdiction est présent.

En revanche, il est tout à fait possible de faire un demi-tour dans une impasse.

Vous n’êtes pas prioritaire lorsque vous manoeuvrez. Donc si un véhicule souhaite vous dépasser, attendez avant de commencer votre manœuvre.

Phase 2 : Les étapes pour faire cette manoeuvre

Avant de commencer votre manœuvre, effectuez les contrôles visuels tout autour du véhicule à l’aide de vos rétroviseurs et avertissez les autres usagers grâce à votre clignotant, de votre intention de vous arrêter.

Mettez votre clignotant gauche et braquez le volant à fond à gauche. Avancez très lentement jusqu’à l’autre bord de la route qui peut être matérialisé par un trottoir ou des voitures en stationnement. Tout en respectant une distance de sécurité qui varie entre 50cm et 1 mètre.

Avant de passer en marche arrière, assurez-vous de pouvoir le faire en toute sécurité. Regarder à gauche, à droite ainsi que dans les rétroviseurs. Vérifiez qu’aucun véhicule ne souhaite vous dépasser. Car très souvent, certains usagers en profitent pour vous dépasser par derrière à ce moment-là. Une fois cette vérification faite, reculez le plus lentement possible tout en effectuant des contrôles visuels autour de vous. À gauche, à droite, et derrière, et arrêtez vous à bonne distance du véhicule à l’arrière ou du trottoir (entre 50cm et 1 mètre).

Avant de repartir, vérifiez qu’aucun véhicule n’arrive de droite. Tournez vos roues à gauche et mettez votre clignotant gauche. Passez la première vitesse et avancez lentement, sur la droite de la chauss

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